Les joies et les déboires de l’argent, d’hier à aujourd’hui

Cet article de Catherine PLANCHENAULT se décompose en deux parties, la première partie écrite sous l’affixe VAL DE CUECH en 1999 et la seconde partie écrite sous l’affixe VICTORY’S en 2007. 

par Catherine Larribe en 1999 Les joies et les déboires de l’argent

Lorsqu’en 1989 j’importais une femelle Birmane Seal Tabby point, la première à l’époque dans le Sud de la France, je me suis tout de suite intéressée au gène argent dès le départ de mon élevage qui a démarré en 1990. Aidée par Chantal Collomb-Clerc, la présidente de l’ARAF qui dirigeait mon livre d’origine de l’époque, le LORF, j’ai donc « monté mon programme d’introduction du gène Argent dans la race.

Pour éviter la consanguinité CAR JE SUIS CONTRE, j’ai voulu introduire le gène par plusieurs lignées et de plusieurs façons:

1/ Une Birmane Seal point mal typée, en l’occurrence ma première femelle Birmane (nez trop long mais romain) et avec trop de blanc, choisie exprès pour ses défauts qui allaient devenir des qualités, mariée avec un persan au nez trop long, Bleu Silver Tabby mais non porteur du gène siamois. J’obtins en 1991 trois chatons: une très jolie chatte au type Birman Blue Smoke et avec des mitaines blanches: Girl is Mine du Val de Cuech, un Brown Tabby et un mâle Brown Silver Tabby.

2/ Une Persane Tortie Silver facteur point mariée à un Birman Red point: j’obtins deux femelles Red point dont une Smoke et deux mâles Noirs dont un Smoke: je gardais la femelle Red Smoke.

3/ L’autre Persane que j’avais achetée pour le programme n’a jamais voulu être enceinte de mon Sacré de Birmanie, alors je décidais de la quatrième solution.

Shalimar du Val de Cuech

4) Une autre Sacré de Birmanie mais Blue point mariée avec un Seal Smoke point (facteur Chocolat), où j’obtins du Chocolat Smoke (la mère était porteuses et je ne le savais pas)., un mâle Seal Smoke et une Blue point… J’étais bien embêtée de n’avoir que des mâles porteurs du gène. Autant j’avais bien démarré mon programme dans le choix de mes reproducteurs et de mes lignées, autant – et contrairement à Geneviève Basquine à qui je tire mon chapeau – je n’ai pas su gérer le suivi de ma première génération et de la deuxième génération. Je m’explique: j’aurais dû garder l’unique chatonne née en 91 et la placer après ses bébés: au lieu de cela je l’ai placée chez quelqu’un qui l’a opérée sans m’en informer. Allez faire un recours, moi je n’en avais pas le coeur. La deuxième erreur fut de ne pas garder une chatonne Seal Tortie Silver Tabby issue de ma Red Smoke point et de mon étalon Seal Tabby point: dès la deuxième génération en 1995, j’aurais eu le type, de super yeux et les gants d’expo !!! Je n’ai pas saisi cette incroyable opportunité. D’accord, cela se voyait un petit peu qu’il y avait du Persan « derrière » mais cette chatonne deuxième génération pouvait aisément damer le pion à un Birman « pure souche ». Je l’ai vendu en chatonne de compagnie et je me demande encore pourquoi ! Je n’ai même pas gardé ne serait-ce qu’un droit de saillie sur un des mâles: soit le Brown Silver obtenu en 1991 soit le mâle Black Smoke facteur point en 93 soit le Chocolat Smoke point ou son frère Seal Smoke point. Certes et à ma décharge, je n’avais pas à l’époque la place de garder l’un d’entre eux et je ne voulais pas courir le risque d’une saillie non désirée en gardant un mâle. Surtout j’ai péché par naïveté et excès de confiance envers les gens chez qui j’avais placé mes chatons qui étaient en fait la base de mes lignées d’argent et qui n’auraient jamais dû partir de chez moi. Certes la stérilisation de cette première chatonne née en 91, Girl is Mine, m’a sapé le moral. Mais surtout, en 1995, j’ai fait le point sur mes priorités en élevage et dans la vie en général… et j’ai réalisé qu’aucun gène ne portait aussi bien son nom que celui du gène Argent. J’avais trop galéré pour un maigre bilan, le porte-monnaie était vide (même si le but n’était pas de le remplir, il ne faut pas exagérer). Cela n’a pas l’air comme cela mais cela coûte très cher de vouloir introduire une nouvelle couleur: presque 40 000 F y sont passés: achat des persanes, saillies extérieures et surtout portées de chatons hybrides bradées. C’était beaucoup trop pour moi et ma famille et étant donné que parallèlement, je rencontrais du succès avec mes Roux, mes Tabby et mes Torbies, je décidais de me contenter de ces couleurs – partant du principe que quand les choses doivent se faire, elle se font naturellement et si elles ne doivent pas se faire, elles ne se font pas et rien ne sert de s’obstiner…

Et puis en 1998, sans que je ne demande rien, par hasard, j’ai récupéré dans des conditions un peu rocambolesques plusieurs chats  » de travail », du Lilas, du Seal, porteur Choco et…. Mercure des Moulins de Busset: Sacré de Birmanie Red Silver Tabby point.

Et me revoilà avec ce gène argent ! Mon but premier était d’obtenir un mâle Seal Silver Tabby point car dans l’argenté c’est ma couleur préférée et je voulais pouvoir rapidement castrer Mercure. Aujourd’hui j’ai fait mon choix après moult hésitations et vu que le Birman parfait n’existe pas pour tout éleveur perfectionniste. C’est sur Picsou Silver du Val de Cuech que je fonde mes espoirs. Sans le faire exprès et parce que j’ai marié Mercure avec des femelles qui lui convenaient morphologiquement et génétiquement, sans tenir compte des couleurs, j’ai obtenu des femelles Red Silver et Cream Silver point. Contrairement à Geneviève Basquine et Jean-Luc Odeyer qui les ont supprimés de leurs programmes, J’ADORE !!! Et non seulement j’adore, mais les deux minettes que j’ai gardées et surtout la Red Silver Tabby, Porcelaine et Platine du Val de Cuech, plaisent – à mon grand étonnement – à beaucoup d’éleveurs et aux visiteurs d’expositions félines. Il est vrai qu’elles sont très peu contrastées mais contrairement aux chats blancs, elles ont, avec leur gène argent, une luminosité exceptionnelle dans la robe et c’est un enchantement permanent pour les yeux. De surcroît, elles sont très bien typées et à partir du moment où le standard est respecté, j’estime qu’on élève pour se faire plaisir et c’est pour moi un objectif ATTEINT: je suis comblée. Oui il y a toujours quelque chose à améliorer et heureusement, sinon ce ne serait plus intéressant ! Faire plaisir aux futurs maîtres, qui sont pour la majorité de simples particuliers et pas pour les expositions où certainement les chats aux couleurs plus classiques passent mieux ne serait-ce que pour le contraste de leurs gants. Quarante couleurs étant reconnues à ce jour, chacun doit faire, dans le respect du standard toutefois.

Mais une chose est sûre: je n’aime l’Argent que sur le Tabby. Le Smoke ne me plaît pas du tout (sauf sur le Red) car on a plutôt l’impression que le chat est dépigmenté, je trouve – ce n’est que mon avis personnel – que le chat n’a pas bonne mine et mon opinion est partagée par d’autres éleveurs mais respectons les goûts de chacun car l’élevage est constitué de ses différences et chacun se doit de les respecter.

Je voudrais juste ajouter qu’il faut comprendre les éleveurs qui ont investi en temps et en finances pour introduire ces nouvelles couleurs et qui hésitent à les vendre ou à les céder à des personnes qui ne mesureront pas l’immense travail réalisé. Ces éleveurs n’ont pas envie de voir dilapider ou ne pas respecter ce qu’ils ont mis des mois et années à fabriquer et qui sont leurs « bébés ». Sans pour autant tomber dans le « protectionnisme » exagéré qui consisterait à ne pas laisser reproduire par autre que soi-même des Birmans Argentés. Je suis tellement heureuse de les voir vivre chez moi que j’ai franchement envie de faire partager cette joie et aussi j’aimerais avoir un peu de concurrence en exposition féline.. nom d’un petit chat !!!

Pour terminer mon propos et ma première décennie d’élevage, savez-vous ce que je me suis gardée, pour moi, pour me faire plaisir ? Une petite femelle Seal point que j’ai appelée.. .Préférence du Val de Cuech, en hommage à la couleur de base du Birman qui reste incontestablement et majoritairement la couleur préférée.

8 années plus tard… suite de l’article

Je me suis bien amusée à relire mes écrits de l’époque et constater SIC mes erreurs de choix !

Qu’importe, les erreurs servent . C’est mon principe de vie.

Le temps a passé : un divorce et changement de nom ainsi que d’élevage désormais sous le préfixe VICTORY’S

Je reste fidèle à ma race l’incontournable SACRE DE BIRMANIE qui d’ailleurs depuis 4 ans est en progression de 19 % dans les demandes de pedigrees. Un vrai retour en force à la seconde place derrière le persan qui a chuté de 36 % !!

PLUSIEURS REFLEXIONS ME VIENNENT A LA RELECTURE DE MON ARTICLE DE L’EPOQUE PARU DANS  ANABI : 

VICTORY’S APPY-END – VICTORY’S AFRICA
2 intensités de seal silver différentes Le silver rend la couleur moins chaude que le tabby classique et rend la couleur plus froide, plus « métallique ». 

Premièrement ;  il ne faut jamais dire jamais et les goûts en matière d’élevage évoluent. Il suffit de tomber  sur le sujet qui vous fait aimer telle couleur pour y prendre goût. (Je n’aimais pas à l’époque le smoke j’aime !!) Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis !!

Un triste constat : la variété SMOKE ou SILVER a trop peu avancé dans les élevages français. Cette variété aussi bien en smoke qu’en SILVER est très appréciée par les éleveurs mais aussi les particuliers. Par manque de collaboration et de confiance entre éleveurs , cette variété n’a que trop peu avancée . De surcroît, cette variété est « travaillée » par certaines personnes qui ne savent pas la reconnaître. Je ne peux pas trop en vouloir aux débutants mais aux éleveurs avertis quand même…

Il faut savoir par exemple qu’un seal smoke paraît chocolat mais ne l’est absolument pas.

LES FAUX SILVER. Ne comptons pas sur la majorité des juges birmans pour savoir reconnaître un silver de celui qui ne l’est pas et la variante chocolat et seal silver. Cessons de dépenser notre argent pour rien et mettre en reconnaissance de couleur nos chats en expos. Ayons l’humilité de contacter des éleveurs spécialistes de la couleur et nous arrêterons d’avoir des faux silver qui circulent. « Travaillons en commun et enrichissons-nous des connaissances des uns et des autres. »

Nos juges ne subissent en regard de l’évolution des couleurs dans cette race aucune remise a niveau. Ils jugent dans des salles avec souvent des lumières artificielles si bien qu’ils n’y voient que du feu.

Il y a heureusement de bons juges birmans mais trop rares (la plupart étant des juges existant avant l’apparition des silver), n’en voient que trop peu dans les expos pour se former et beaucoup n’élèvent pas ou plus la race ou ne l’ont jamais élevée du tout !! et ne connaissent donc rien à la difficulté d’élever des BIRMANS.

Pocket Silver du Val de Cuech
15 mois, seal silver point

Il y a encore quelques jours, j’étais en expo et il y avait un chocolat silver tabby point absolument pas chocolat et qui, s’il est silver, est de très mauvaise qualité. Le juge n’y a vu que du feu !! EDIFIANT

Nous vendons nos chatons aux environs des 3 mois. Certains smoke ou silver sont déjà bien marqués et pour d’autres le doute est permis. Il y a des smoke très smoke et d’autres moins smoke même adultes et idem pour les silver. Il y a un endroit précis où on peut détecter la couleur de base d’un smoke ou silver c’est aux pattes soit à l’avant sur les côtés là où le poil est court au niveau des rayures sur le silver soit à l’arrière entre la pointe de l’éperon et la pointe du jarret. Là, aucune erreur possible parce qu’au final, il est difficile de face de faire la différence entre un seal silver bien marqué voir un chocolat et un bleu silver.

Pour reconnaître dans les portées des bébés smoke ou silver. Deux choses : sur les smokes, il vont vous paraître de couleur bizarre du style chocolat voir même bleu alors qu’en fait ils sont seal et vous remarquerez des marques fantômes de tabby avec le liseret de l’oreille (face à vous quand vous regardez ) plus clair . Les poils de garde des oreilles sont seal sur un chat seal, bleu chez un bleu mais blanc casse sur un smoke.

Oreilles seal smoke

Sur les silver c’est le dessus de la truffe qui va « parler » car le dessus de la truffe n’est en aucun cas brique même brique clair comme sur tous les tabby mais blanc casse ainsi que le « pouce » sur le dessus de l’oreille.

Certes sur les bleus silver, je vous le concède c’est vraiment plus dur. Un autre facteur vient accentuer

l’intensité du gène silver c’est le type de tabby qui se cache derrière. Blotched, mackerel ou spotted. Je ne connais pas de birmans spotted mais ça peut exister. Le mackerel vous donnera un silver plus lumineux. 

Twiggy du val de cuech
bleu silver

Au final, ce qu’il faut rechercher c’est l’intensité du gène. C’est beaucoup plus joli à l’œil.

Par contre, il est judicieux de marier un smoke ou un silver à un chat de gabarit costaud car j’ai remarqué  que la taille de certains birmans (pas tous) avait un peu diminué par l’apport de persans (mon hypothèse).

Ne pas demander trop vite les pedigrees et ne pas hésiter à revoir les chatons à 5 mois et demi . Le temps suffisant pour changer la carte d’identification ou de tatouage (moins d’une semaine) si cela était nécessaire afin de demander des pedigrees aux couleurs correctes.

Deux seal tabby point

Seal silver tabby point

J’ai à la maison une seal tortie tabby GRANDE CHAMPIONNE INTERNATIONALE avec un pedigree de seal tortie silver tabby et qui a fait plein de best en silver !!!!!!!!!!!!!!!. Elle n’est absolument pas silver ! à l’époque c’était mes premiers bébés et j’ai rendu visite à un juge birman local qui l’a décrétée seal tortie silver. Je me suis aperçue à la puberté que ce n’est absolument pas le cas mais entre temps la demoiselle avait fait des bests. SILVER et démarré les CAC alors j’ai décidé de pousser le plus loin possible pour voir et aucun juge – et parmi les meilleurs et dans les grandes expos parisiennes type BERCY – ne m’a contesté cette erreur de couleur. !!  Je ne vous cache pas que j’ai fait exprès de laisser la chatte dans sa mauvaise couleur…  et de toute façon il valait mieux une chatte déclarée tortie silver que une tortie tabby qui était en fait silver . Dans ce sens là je n’aurais jamais eu un souci avec les bébés puisque à moins de la marier à un smoke ou silver je n’aurai jamais eu de silver. Alors que des bébés silver ou smoke issus d’une chatte déclarée non smoke ou silver et dont le « mari » ne l’est pas non plus est encore plus « gênant « car impossible et il y aurait blocage au LOOF pour l’émission des pedigrees.

Important : on n’est pas porteur du gêne argent. On l’est ou on l’est pas et on ne peut en aucun cas transmettre le gêne si on ne l’est pas. A contrario de certaines couleurs. C’est idem pour le tabby.

Utopie du Val de Cuech
seal smoke point

Shalimar du Val de Cuech
seal silver tabby point

Autant vous dire que depuis j’ai quand même fait des progrès et je détecte très bien une tortie silver qui est une couleur sublime d’une tortie smoke ou silver car le silver efface le red et cream et rend la chatte d’un silver très franc et lumineux. Il m’arrivera certainement encore de faire des erreurs car si sur un adulte ce n’est plus possible, sur un chaton que l’on vend à 2 mois et demi et que l’on ne peut revoir car trop loin alors effectivement certains pedigrees pourraient avoir à être refaits.

Un conseil : éviter les red et surtout les cream silver car c’est blanc alors les particuliers aiment c’est évident mais pour l’élevage les pointes ne sont plus là. Après avoir été connue pour être spécialiste des couleurs red , cream, écaille et bleu crème depuis 1989 je me suis tournée je pense définitivement sur le SILVER et le SMOKE et pour cette raison je me suis désormais consacrée aux seal, blue , chocolat et lilas dans les variétés unies, tabby , smoke et silver. Cependant, cela m’arrive de garder une jolie femelle tortie smoke ou blue cream smoke mais c’est plus par choix du type de la chatte et de ses origines que pour sa couleur.

Alonso du Val de Cuech
4 mois, seal smoke point, dont la couleur est nettement moins sorti

Certains vont s’offusquer de mes propos mais je m’en moque. Je dis la vérité et ce que certains pensent tout bas. Pour ces raisons, il m’est arrivé de décrocher à plusieurs reprises du milieu des expos car j’en avais un peu assez de dépenser des sommes rondelettes pour faire juger mes silver ou smoke très rares en expo et  pas jugés à leur juste valeur. Je ne parle pas de celui qui a acheté un silver ou un smoke tout fabriqué mais que de « travail, de sélection, de patience et d’argent dépensé à fabriquer la couleur » !! Au final pas trop de juges savent apprécier la difficulté et vont plutôt aller à la facilité et nous mettre un impressionnant maine coon ou éventuellement un norvégien au podium. ATTENTION que l’on ne déforme pas mes propos car même si je reste fidèle au BIRMAN je voue une ADORATION pour les maine coons car j’adore les gros félins mais avouez que c’est plus facile d’élever un maine coon et surtout plus pratique et facile pour un juge de le sortir aux bests … et surtout je trouve véritablement injuste que le deuxième chat de France dans les statistiques LOOF ne se retrouve pas proportionnellement sur les podiums. Même si je ne suis pas atteinte de la « podiumite aïgue » comme certains, ça fait toujours plaisir de sortir sur les podiums et ça aide à mieux supporter nos résultats nets fiscaux déficitaires. Professionnel ou pas !

Une seal tabby qu’on pourrait croire silver mais qui NE l’est absolument pas

Je vois aussi des juges juger en chocolat des seal et mettre en caramel des chocolats !! oui c’est du vécu récemment !!! INVRAISEMBLABLE et EDIFIANT pour ne pas dire CONSTERNANT………………………….

Il faut souvent trois exemplaires de la couleur pour voir des bests variétés sauf quand les juges remettent un prix spécial mais en général les juges ou les organisateurs sont un peu « radins » pour ce genre de prix alors oui j’ai vraiment envie de voir d’autres silver en expos dans ma région pour qu’il y ait une vraie compétition. Personnellement, je n’ai aucune gène à vendre un smoke ou un silver à un bon éleveur. Je ne vois là aucune concurrence mais le moyen de faire progresser la variété en la partageant. Je tiens le même discours sur la race en général.

Je ne vois pas comment faire progresser une race en se la gardant pour soi seul.

Smoking du Val de Cuech
seal smoke point

Je serai toujours heureuse et disponible de pouvoir répondre à vos questions si vous le désirez.

Je conclue en disant aux éleveurs qui hésitaient de ne plus hésiter et se lancer. C’est une variété très très facile à travailler. Vous en aurez au moins 50 % dans vos portées.

Vive les SILVER et les SMOKE !! et à bientôt sur les podiums !

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